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Pensées bouddhistes
La
naissance est apparente, sa disparition est apparente, l'hétérogénéité
de sa durée est apparente.
O moine, vide cette barque. Vidée, elle voguera légère.
Passion et haine en toi anéanties, tu parviendras à l'extinction
Sont
des Victorieux ceux qui pareil à moi ont détruit leur flux impurs.
Enflammé par l'attraction [raga], affolé
par la confusion [moha] [l'homme] fait des plans qui le troublent, lui et
les autres, et il éprouve douleur et dépression.
La naissance est duhkha, la vieillesse est duhkha, la
maladie est duhkha, la mort est duhkha ; être uni à ce que
l'on n'aime pas est duhkha, être séparé de ce que l'on
aime est duhkha, ne pas avoir ce que l'on désire est duhkha; en résumé,
les cinq agrégats d'attachement (skandha) sont duhkha.
Voici la Noble Vérité sur la cause de duhkha. C'est cette
soif (désir, tanha) qui produit la re-existence et le re-devenir,
qui est liée à une avidité passionnée et qui
trouve une nouvelle jouissance tantôt ici, tantôt là,
c'est-à-dire la soif des plaisirs des sens, la soif de l'existence
et du devenir, et la soif de la non-existence (auto-annihilation).
Voici la Noble Vérité sur la cessation de duhkha. C'est la
cessation complète de cette soif : la délaisser, y renoncer,
s'en libérer, s'en détacher.
Voici la Noble Vérité sur le Sentier qui conduit à
la cessation de dukkha. C'est le Noble Sentier Octuple, à savoir
: la vue juste, la pensée juste, la parole juste, l'action juste,
le moyen d'existence juste, l'effort juste, l'attention juste, la concentration
juste.
Vivez comme si vous deviez mourir demain, apprenez comme si vous deviez vivre
toujours. (Bouddha)
Si ta compassion n'inclut
pas ta propre personne, il lui manque quelque chose.
Si tu ne trouves pas la
vérité là où tu es, où crois-tu donc pouvoir
la trouver ?
La vie est aussi fugace
qu'un arc-en-ciel, qu'un éclair d'orage, qu'une étoile à
l'aube. Sachant cela, comment pouvez-vous vous quereller ?
Vis pleinement chaque
acte comme s'il devait être le dernier.
Il n'y a qu'un moment
où il est essentiel de s'éveiller : ce moment même.
L'ennui, c'est que vous
pensez que vous avez le temps.
Evite quand c'est possible
la compagnie des personnes qui vivent dans l'illusion. Quand ce n'est pas
possible, garde tes pensées pour toi.
En affaires, réinvestis
une part de tes profits, garde une part pour ton usage personnel, réserve
une part pour ceux qui sont dans le besoin.
Apprends à répondre
au lieu de réagir.
Quelles qu'aient été
les difficultés du passé, tu peux toujours recommencer de zéro
aujourd'hui.
Il n'y a pas de feu plus
féroce que l'envie et la haine.
Si nous pouvions percevoir
clairement le miracle que représente une simple fleur, notre vie toute
entière changerait.
Nulle personne extérieure
à nous-mêmes ne peut nous contrôler intérieurement.
Quand nous savons cela, nous sommes libérés.
La seule façon
d'apporter la paix au monde est d'apprendre soi-même à vivre
en paix.
Notre corps est précieux
car il est le véhicule de notre éveil.
Les mots ont le pouvoir
de détruire ou de guérir. Lorsqu'ils expriment la vérité
et la compassion, ils peuvent transformer le monde dans lequel nous vivons.
Notre pire ennemi ne peut
nous faire autant de tort que la folie de nos propres pensées. Nul
ne peut autant nous aider que la compassion de nos propres pensées.
Ne te fies pas aveuglément
aux paroles d'autrui, fût-il le Bouddha. Observe ce qui t'apporte personnellement
le contentement, la lucidité et la paix : là est ton chemin.
La haine ne mettra jamais
fin à la haine ; seul l'amour peut le guérir. C'est là
l'ancienne et éternelle loi.
Quand ton travail et tes
paroles font du bien à toi-même et à autrui, là
est le bonheur.
Nous ne sommes pas indépendants, mais interdépendants.
La vie est si dure, à
quoi sert d'exprimer autre chose que de la bonté ?
Ces deux choses demandent
une patience amusée : les enfants espiègles et ton propre mental.
Ce ne sont pas nos préférences
qui créent des problèmes mais notre attachement à ces
préférences.
Si tu as une position
de responsabilité, sois généreux envers la communauté,
honorable en action, sincère en parole ; et ne te soucie pas du reste.
Une posture bien droite
et quelques respirations détendues : voilà qui peut faire une
grande différence.
Il n'y a pas de lieux
sacrés ni de personnes sacrées, il n'y a que des instants sacrés,
des instants de sagesse.
Tout ce qui a un commencement
a une fin. Sois en paix avec cette vérité et tout ira bien.
Demeure centré, n'excède pas tes capacités. Elargis-toi
à partir de ton centre et reviens à ton centre.
Prends du temps chaque
jour pour t'asseoir tranquillement et écouter.
Apprends à lâcher
prise, c'est la clé du bonheur.
De même que le serpent
se défait de sa peau, nous devons constamment nous défaire de
notre passé.
Au fond, la plupart des
gens désirent être compris et appréciés.
Centurée du désenchantement :
La vie humaine est limitée à un siècle
Une moitié est faite de nuit
La moitié de la seconde moitié est occupée par l'enfance
et la vieillesse
Le reste n'est qu'un suite de maladies, de séparations, de souffrance
et de corvées.
Bhartrihari
La peur doit être
bannie de notre vie
La peur que quelque chose arrive est pire que la chose elle-même
Les peureux meurent bien des fois avant l'heure de leur mort
Swani Prajnanpad
Au printemps, des centaines
de fleurs,
En automne, la lune de la moisson,
En été, une brise rafraichissante,
En hiver, la neige t'accompagnera.
Si les choses inutiles n'encombrent pas ton esprit,
Toute saison est belle pour toi.
Mumon
Huai
nan zi, philosophie taoïste :
" Il aime à fermer les yeux dans la grande nuit et à s'éveiller pour regarder dans la maison de l'éclatante lueur. Il se repose et respire dans un lieu sans contours, vague, et se divertit dans la campagne de l'informel. Il habite un endroit sans aspect, il réside sans le sans-lieu. Il se meut dans le sans-forme, se tient en repos dans l'incorporel. Il existe comme s'il n'existait pas, vit comme s'il était mort, sort du sans intervalle et y pénètre...Le commencement et la fin des choses sont pour lui, comme un anneau dont nul ne peut saisir l'extrémité.
Soyez à vous-même
votre propre flambeau, votre propre refuge... (Bouddha)
Il y a quatre pensées
illimitées : l’amour, la compassion, la joie et l’égalité
d’âme. (Bouddha)
Ne demeure pas dans le passé, ne rêve pas du futur, concentre
ton esprit sur le moment présent. (Bouddha)
De celui qui dans la bataille
a vaincu mille milliers d’hommes et de celui qui s’est vaincu
lui-même, c’est ce dernier qui est le plus grand vainqueur. (Bouddha)
Pureté et impureté
sont personnelles, nul ne peut purifier autrui. (Bouddha)
Le monde est aveugle.
Rares sont ceux qui voient. (Bouddha)
Rester en colère,
c'est comme saisir un charbon ardent avec l'intention de le jeter sur quelqu'un
; c'est vous qui vous brûlez. (Bouddha)
Celui qui est le maître
de lui même est plus grand que celui qui est le maître du monde.
(Bouddha)
L'esprit est difficile
à maîtriser et instable. Il court où il veut. Il est bon
de le dominer. L'esprit dompté assure le bonheur. (Bouddha)
Vivons donc heureusement,
sans haïr ceux qui nous haïssent. (Bouddha)
L'ARGENT
Il peut acheter une maison, mais pas un foyer
Il peut acheter un lit, mais pas le sommeil
Il peut acheter une horloge, mais pas le temps
Il peut acheter un livre, mais pas la connaissance
Il peut acheter une position, mais pas le respect
Il peut payer le médecin, mais pas la santé
Il peut acheter du sang, mais pas la vie
Il peut acheter du sexe, mais pas de l'amour